Le Maître des Poupées

Catégories : FANTASME
il y a 8 ans

Commet être transformé(e) en poupée

Jeune chercheur de 28 ans, célibataire, travaillant dans un laboratoire pharmaceutique à la recherche de produits h y p n o t i q u e s pour faciliter les interventions chirurgicales. J'ai trouvé un produit qui empêche tout mouvement de la personne mais augmente ses sensations. Le laboratoire a suspendu ces recherches pensant ce produit inutile.

Après avoir gagné une forte somme au loto, j'ai racheté le brevet au laboratoire. Ce dernier ne voyant pas quelles applications en faire me l'a cédé facilement pour une somme raisonnable. J'ai pu continuer mes recherches chez moi dans mon laboratoire privé et ai développé le produit de façon à ce qu'il ne soit pas dangereux et que ses effets durent 24h chez un humain adulte. Je l'ai appelé le Poupéifiant.

Pour la suite de l'histoire, je vais un peu mieux me présenter :

Comme déjà dit, j'ai 28 ans au début de cette histoire, je suis physiquement normal, un peu plus de 1,8m avec un léger embonpoint du fait de ma sédentarité et de mon goût pour les bons repas. Sexuellement, j'ai une bonne expérience, ayant eu des copines pendant les études. Et sans me vanter, j'étais classé dans les "bons coups" du cercle d'étudiants dans lequel je gravitais.

J'ai toujours eu un côté dominant dans mes relations sexuelles. Je suis bi, bien que je n'aime pas me faire pénétrer par un autre homme. Mais je n'ai rien contre une fellation de sa part ou de la mienne. En revanche avec les femmes j'aime toutes les pratiques. Du fait d'aimer la domination, je fréquente plusieurs sites internet traitant de ce sujet.

Alors que mes recherches touchaient à leur fin, j'ai commencé à me créer un pseudonyme : "Le Maître des Poupées" sur plusieurs de ces sites et à rechercher des personnes ayant le fantasme de se trouver utilisées comme des poupées.

Après plusieurs semaines à trier parmi les demandes parfois farfelues, j'ai reconnu un pseudonyme que je connaissais comme étant celui d'une femme d'environ 30 ans. L'ayant déjà rencontrée lors d'une soirée dans un cercle privé. Je la trouvais attirante et l'aurais bien courtisée, si elle n'avait pas été accompagnée par un gorille lui servant de compagnon à ce moment là. Selon mes souvenirs, elle mesure environ 1,70m est brune au cheveux longs et a un très joli visage d'ange. Lors de la soirée elle était présentée comme dominante par notre hôtesse du jour. Dans son message, elle m'avouait son envie de tester mon concept. Elle laissait aussi entendre qu'elle serait intéressée par plus si mon idée lui plaisait.

Rendez-vous est donc pris pour tester mon concept de la poupée à sensation le week-end suivant. Le vendredi après-midi prévu, je vais la chercher à la gare de la ville voisine et lui bande les yeux pour ne pas qu'elle sache ou nous nous rendons. Une fois chez moi et bien installée, je lui dit de boire et de manger avant de lui faire l'injection, car elle ne pourra plus le faire pendant 24h. En revanche, l'élimination se fera naturellement. Seuls les muscles moteurs volontaires étant inhibés par mon produit.

Une fois le repas passé, en parlant de tout et de rien, nous abordons le sujet principal pendant le dessert. Je lui demande quels sont ses fantasmes et ses attentes lors de ce test. Elle me répond donc qu'elle rêve de devenir une des poupées avec lesquelles elle jouait étant petite : habillée, déshabillée, coiffée, lavée. Elle me décrit comment à la puberté elle a continué à jouer avec ses poupées en leur faisant avoir des relations sexuelles parfois très osées, les attachant, leur faisant avoir des relations homo, bi ou hétéro selon les jours.

Après avoir discuté de tout cela, elle me décrit ce qu'elle attend de cette première fois. Elle veut que je joue avec elle comme une poupée ordinaire. Elle accepte l'introduction d'objets dans son intimité mais aucune relation sexuelle.

Une fois les règles fixées, nous nous rendons dans le salon où je lui fais l'injection qui la rendra inerte, mais lui augmentant ses sensations. Je la vois se détendre puis dans ses yeux je vois qu'elle ne peut plus bouger. Je commence à lui caresser le visage en regardant ses réactions. Aucun mouvement, comme prévu, en revanche ses yeux semblent dire qu'elle attend la suite.

Je décide de la dévêtir pour voir ce qu'elle porte sous son tailleur strict. Elle a le corps moulé dans un body porte-jarretelles noir en tulle et dentelle des plus sexy qui soit. Je commence à jouer avec ses tétons à travers le body et les pince légèrement pour voir sa réaction. Je vois dans ses yeux qu'elle a un peu mal mais qu'elle aime ça.

J’entreprends donc à jouer avec ma nouvelle poupée, je cherche une brosse, défais son chignon et commence à lui brosser les cheveux et à la coiffer comme cela m'amuse. Quand vient le moment de la déplacer, je m'aperçois qu'il me faut quand même un peu f o r c e r pour cela. Il faudra que je me trouve des assistants assez musclés pour faire office de porteurs de poupées. Je finis par réussir à la porter là où je veux, dans ma chambre. Une fois sur le lit king-size, j'entreprends de finir de la dévêtir en me notant quelque part qu'il faudra que j'achète des vêtements pour mes futures poupées. Une fois son tailleur enlevé, je lui ôte son body puis ses bas. Elle est parfaitement épilée ne gardant qu'un ticket de métro au dessus d'une fente entrouverte et d'une chatte déjà bien humide. Je ne sais si elle l'est parce qu'elle est excitée par la situation ou par ce que j'ai commencé à lui faire. Je lui demanderai lorsqu'elle pourra me répondre.

Je cherche dans un tiroir de la table de nuit où je range certains jouets, que j'aime utiliser avec certaines de mes partenaires, et en sort un œuf vibrant ainsi qu'un plug de petite taille.

Je passe en premier le plug sur son sexe, jouant un peu avec son clitoris. Puis je le lubrifie avec ses sécrétions intimes avant de le présenter sur son œillet encore fermé et pousse lentement pour l'y faire rentrer. J'humidifie ensuite l'œuf et le rentre dans sa chatte bien ouverte. Je prends ensuite la commande de l'œuf et commence à le faire vibrer doucement. C'est alors que j'entends un gémissement s'échapper de ma poupée. Visiblement, elle prend son pied à sa situation. Je finis de l'équiper en lui mettant un bâillon gonflable et donne quelques coups de pompe pour bien lui remplir la bouche. Je la laisse ainsi et la couvre d'un drap, la nuit ne sera pas trop fraîche et cela devrait lui suffire.

Je me couche sur le lit après avoir retiré mes vêtements. Dans notre accord pour cette première fois, pas de relations sexuelles. Il ne me reste donc que ma main pour soulager la tension accumulée dans cette soirée. Ce que je fais en prenant soin tout de même de vider mon trop plein sur la poitrine de ma poupée d'un jour. Après quoi, je me mets sous les draps et m'endors. Je ne sais ce que fait ma poupée, elle ne peut pas fermer les yeux volontairement.

Au petit matin, je me réveille avec une main coincée sous les fesses de ma poupée et l'autre sur un de ses seins, agréable sensation avec la gaule matinale. Je profite de ma position pour la caresser un peu et constater que l'œuf vibrant est toujours en action et le sexe de ma poupée dégouline de mouille. Malgré notre accord, je ne peux m'empêcher d'y porter la bouche et de boire ce nectar si agréable. Après avoir joué un moment avec ses lèvres et son clitoris, tout en augmentant la vitesse de vibration de l'œuf, un gémissement me permet de comprendre qu'elle prend son pied sous mes coups de langues.

J'arrête l'œuf et vais l'installer sur les toilettes avant de lui retirer le plug anal. Bien m'en a pris, car le sphincter dilaté toute la nuit ajouté à l'impossibilité qu'elle a de se retenir, elle se vide, ce qui déclenche aussi sa miction.

Après l'avoir nettoyée, je la ramène dans la chambre, habillée avec ma chemise de la veille uniquement et l’installe sur une chaise pendant que je prépare mon petit déjeuner en caleçon avec la bite bien tendue. Le restant de la journée passe en lui mettant un nouveau plug un peu plus gros et en jouant avec l'œuf vibrant dans sa chatte et en regardant ses réactions. J'aime voir ses yeux s'embuer quand le plaisir monte. Mais je ralentis les vibrations dès que je la sens trop proche du plaisir, lui interdisant cette libération. Je sens dans son regard sa frustration. Je fais cela pour me venger de cet accord m'interdisant les relations sexuelles avec elle dans sa position de poupée. Accord qui me frustre grandement. Mais je m'interdis de me branler, je ne veux pas lui montrer ma frustration.

La journée passe vite, je fais un peu de ménage et de rangement. Dans l'après-midi je m’amuse à lui remettre son body et ses bas puis à les lui enlever en la caressant et pour finir, je lui remets ma chemise pour seul vêtement.

J'attends ensuite son retour à la réalité en la laissant couchée sur le lit avec les yeux fermés, l'œuf bien enfoncé vibrations au minimum et le plug en place.

Son retour parmi les gens mobiles se fit d'abord au niveau de la tête. Quand elle peut parler, elle m’appelle pour me demander de lui sortit l'œuf de la chatte et lui fourrer mon bite tellement elle en a envie. "Tant pis pour notre accord demandant de ne pas avoir de relations sexuelles" me dit-elle. Je ne lui laisse pas le temps de revenir sur ses paroles, je prends un préservatif dans la table de nuit pour m'en équiper, soulève le bas de la chemise, sors l'œuf après l'avoir arrêté et plonge directement ma queue dans sa chatte trempée. Elle peut enfin exprimer son plaisir et elle le fait bruyamment, jouissant une première fois à mon intromission. Je ne lui laisse pas le temps de se détendre et commence à la besogner furieusement. Au fur et à mesure que je la pistonne, elle arrive de plus en plus à bouger, d'abord ses mains avec lesquelles elle commence à se caresser la poitrine, puis ses jambes qui s'entourent autour de ma taille pour que je m'enfonce plus profondément en elle. Son plaisir arriva une nouvelle fois assez rapidement. Plaisir dans lequel je la suis, tout-deux bien excités par ces dernières 24 heures, et je me vide dans la capote tout en exprimant ma jouissance par un grognement rauque pendant qu'elle hurle son plaisir.

Après quelques minutes pour retrouver nos sens, nous nous relevons, je remets mon caleçon et elle garde ma chemise. Elle se précipite aux toilettes pendant que je vais préparer rapidement un repas. Nous nous installons dans la cuisine pour manger, elle est affamée après ces 24h immobile.

Une fois sa faim apaisée, nous commençons à discuter de son expérience.

La première chose qu'elle me dit est que lors de notre première rencontre, je lui avais beaucoup plu mais que comme je l'avais ignorée, elle avait cru que je ne m'intéressais pas à elle. Je lui explique que c'était son gorille qui m'avait rebuté, ce qui la fait bien rire. Elle me répond que c'était un soumis qui l'accompagnait parfois à des soirées quand elle était seule. Quand elle avait vu que je cherchais quelqu'un pour tester mon produit et mon idée elle avait été très intéressée pour tenter l'expérience de poupée vivante. Mais surtout elle voulait attirer mon attention.

Elle me décrit les sensations ressenties et qu'elle avait beaucoup aimé que je m'occupe de ses cheveux et de son corps. Elle avait très mal dormi tellement elle était excitée par la situation, l'odeur de mon sperme sur sa poitrine et les jouets dans ses orifices. Mais surtout, elle avait adoré le cunnilingus de ce matin et avait espéré que je rompe notre accord à ce moment là. Le reste de la journée elle m'en voulait de l'avoir frustrée, approchant de la jouissance sans l'atteindre, parfois d'une fraction de seconde me dit-elle. Elle n'en a que mieux jouit le soir. Elle est ravie de ce qu'elle a ressenti.

Une fois les sensations vues, nous faisons un point sur le reste. Elle m'avoue avoir adoré cette journée et surtout la fin. Elle veut vivre avec moi, partager ma vie et m'aider à exploiter mon idée. Nous avons passé une nuit calme mais au réveil, nous avons fait l'amour comme deux amoureux, ce que nous sommes.

Le dimanche, nous faisons une liste de ce que nous devrons faire pour développer le jeu des poupées. Ce jour là elle devient "la maîtresse des poupées" dans notre cercle privé et ma fiancée officielle pour nos familles.

Chapitre 2

Rappel, j'ai découvert un produit provoquant une paralysie totale des muscles permettant les mouvements, mais il exacerbe les sensations, le rendant inutile en application médicales. Ayant gagné beaucoup d'argent, je rachète le brevet et le perfectionne pour en faire un poupéifiant. Je transforme un adulte volontaire en poupée pour 24 heures. Ma première expérience se fait avec Sandrine, qui devient ma compagne et avec laquelle nous allons devenir le maître et la maîtresse des poupées.

Après une longue discussion, ma nouvelle compagne, Sandrine, ayant elle aussi beaucoup d'argent, nous avons décidé de nous acheter un terrain et de nous faire construire une habitation selon nos spécifications. Pour cela, nous allons chercher un grand terrain boisé de préférence et faire construire deux bâtiments, une résidence pour recevoir nos amis/familles et une maison de poupée au fond du terrain, non visible depuis la maison principale.

En attendant de trouver tout cela, nous avons commencé à chercher du monde pour nous aider. Ma compagne m'indique que Cédric, le gorille de la première fois où nous nous sommes rencontrés, est un soumis assez costaud, pas très cultivé et très endurant au lit, il pourrait nous servir. Elle a aussi dans ses contacts une ravissante infirmière soumise et sans emploi suite à une sombre histoire, Mélanie. Elle sera parfaite pour les injections et les soins d'hygiène des poupées. Le dernier sera un jeune homme bien membré et endurant qu'elle a rencontré et qui n'est pas exactement un soumis, mais qui ira très bien avec Cédric, il s'agit, de Hugo, un métis aussi brun que l'autre est blond.

Nous prenons contact avec eux et pour voir s'ils conviennent. La Maîtresse des Poupées décide de faire une journée spéciale. Elle a déjà profité de mon poupéifiant et elle décide que ce sera mon tour de ressentir les sensations endurées par nos futurs jouets. Je commence par refuser sa proposition. C'est au bout d'une semaine de grève du sexe que je me décide à lui dire oui. La soirée qui suit est un festival de jouissances et d'émission de sécrétions sexuelles dans la maison.

Arrive donc cette fameuse journée où nous allons faire le test de nos nouveaux assistants et moi de mon propre produit.

Nos trois assistants arrivent dans l’après-midi et nous leur avons installé des matelas dans la chambre d’amis. Mélanie est ravissante, elle commence par s’habiller d’une tenue d’infirmière sexy avant de vérifier que tout va bien chez moi. Elle me fait me déshabiller et inspecte mes parties et mes orifices, elle prend une tension et écoute mon cœur. Finalement, elle me déclare apte à subir le test. Pendant ce temps-là, Sandrine prépare nos assistants hommes en leur présentant une tenue composée d’un short et d’un harnais en cuir.

Nous prenons ensuite un repas ensemble avant de préparer la suite des événements. Mélanie m’installe sur le lit de la chambre principale et me mets un garrot avant de m’injecter le poupéifiant.

Au bout de quelques instants, je sens les premiers engourdissements dans mes mains et mes pieds. Je tente de parler et constate que ma langue aussi est figée. Ma chérie voyant mon état m’embrasse et commence à me caresser par-dessus mes vêtements. Je me retrouve rapidement paralysé et ne peux plus que regarder ce que fait ma compagne.

Voyant que je ne peux plus rien faire que la suivre des yeux, elle monte sur le lit et commence un striptease de toute beauté pendant que nos assistants restent en retrait. Une fois nue, Sandrine danse un peu devant moi. Ma queue est comprimée dans mon slip à m’en faire mal. Le poupéifiant augmentant les sensations, c’est difficile comme situation et je gémis à la fois de douleur et de frustration. Elle descend du lit et s’approche de moi. Elle me caresse la joue et me dépose un baiser sur les lèvres avant de me dire à l’oreille :

  • " Tu vas voir ce que peut faire une femme frustrée pour se venger. Tu te souviens, la première fois, tu as joué avec moi… Je vais faire pareil et tu vas aimer, je le sais." Elle remonte sur le lit à quatre pattes et descend vers mon pantalon. Au passage, elle défait les boutons de ma chemise un par un avec ses dents. Une fois son visage à la hauteur de la bosse entre mes jambes, elle agite sa chatte luisante devant mon nez. Je voudrais sortir la langue et la lécher, mais je ne peux rien en faire, me faisant pousser un autre gémissement de frustration.

A ce moment-là Sandrine commence à défaire ma ceinture et ouvrir ma braguette. Elle dégage enfin ma queue de son carcan en demandant à Cédric de venir l’aider à soulever mon bassin. Une fois mon pantalon et mon slip enlevés, elle joue avec ma bite comme et la lèche comme une glace. Mon plaisir monte lentement mais sûrement quand soudain elle arrête et se relève, me tirant la langue de façon moqueuse. Avec l’aide de Cédric, elle m’enlève ma chemise et me met sur le côté. Je sens un produit froid sur mon anus et comprends qu’il s’agit de lubrifiant quand je sens un plug contre ma rondelle. Ma chérie passe devant moi et recommence à me sucer pendant que j’entends Mélanie demander comment elle doit faire entrer l’instrument. Sandrine répond qu’elle la laisse libre de procéder comme elle veut, mais qu’il ne faut pas f o r c e r, que j’y prenne un maximum de plaisir. Je constate qu’il s’agit d’un plug un peu plus gros que les habituels avec lesquels nous jouons, quand il passe enfin mon muscle détendu grâce à la pipe que me prodigue ma chérie.

Une fois le plug bien au fond, je suis remis sur le dos et ma chérie me montre un bâillon boule. Elle s’approche de ma bouche et me l’enfile en me souhaitant une bonne soirée. Elle, elle va s’amuser un peu avec Mélanie, Cédric et Hugo. Je pourrais profiter pour tout regarder sans pouvoir rien faire. Les deux garçons passent à ce moment-là sur le côté du lit et me tirent au bord avant de me prendre et de me porter sur une chaise. Je suis là, nu, la queue dressée, l’anus rempli et la bouche bloquée par une boule, à regarder ma chérie nue avec deux hommes et une femme autour d’elle. Elle commence par rouler une pelle magistrale à Mélanie avant de lui ôter sa blouse d’infirmière et de commencer à lui caresser la poitrine. Pendant ce temps-là, Mélanie lui rend la pareille. Les deux hommes ont retiré leur harnais et leur short en cuir et regardent ces deux femmes se caresser en se branlant lentement.

Après un moment à s’embrasser et à se caresser, les femmes se détachent l’une de l’autre. Sandrine murmure quelque chose à Mélanie en lui faisant un clin d’œil dans ma direction avec un sourire entendu. Mélanie acquiesce et elles commencent à sucer les deux hommes avec gourmandise. Je ne peux que supposer que Mélanie a une technique efficace car je vois Cédric, dont elle s’occupe, se crisper rapidement. Mélanie ralenti sa pipe et peu de temps après, je vois Hugo prêt d’exploser lui aussi, sous les caresses de langue de Sandrine.

Les deux filles arrêtent leur pipe et dirigent les deux hommes vers moi. Elles les branlent rapidement et les font jouir en m’éclaboussant le torse de leur sperme. Ensuite, chacune d’entre elles recueille la cyprine de l’autre et elles m’en barbouillent le visage. Cédric et Hugo me reprennent et me déposent sur le lit pour la nuit. Chacun d’eux avant de quitter la chambre me gratifie d’une courte pipe. Mélanie elle monte sur le lit, m’offre sa chatte pour quelques allers et retours avant de se retirer à son tour. Ma chérie monte à son tour sur le lit, m’embrasse sur le front et sur la bite avant de me fermer les yeux et de me souhaiter une bonne nuit. Elle s’allonge ensuite contre moi et se pelotonne avec la tête dans mon cou, me murmurant qu’elle m’aime et qu’elle est heureuse de vivre avec moi.

Je passe une nuit difficile avec ma douce collée à moi et les odeurs de sperme et de mouille qui m’entourent. Dans la nuit, je suis réveillé par une sensation étrange. Je mets peu de temps à comprendre que c’est ma chère Sandrine qui me chevauche. Elle semble prendre son pied, mais avec les yeux fermés, je ne peux rien voir. Je la sens qui se penche vers moi et me murmure :

  • " Je n’ai pas pu résister à ta queue dressée si fièrement, il fallait que j’en profite. Quelle est bonne mon amour ".

A peine a-t-elle fini de dire ces mots qu’elle jouit bruyamment entraînant ma propre jouissance. Elle s’affale sur mon torse, m’embrasse encore une fois et s’endort ainsi, ma queue à moitié dégonflée encore dans son abricot fourré.

Au matin, ma douce a glissé sur le côté du lit. J’ai peu dormi, tout se bousculant dans ma tête.

Ma chérie se réveille et m’embrasse sur la joue avant de se lever et d’aller à la salle de bain faire un brin de toilette. Je l’entends prendre une douche puis sortir. Elle appelle Cédric, Hugo et Mélanie pour qu’ils s’occupent de moi.

Une fois ma toilette faite par les soins de Mélanie, aidée d’Hugo et Cédric, et le plug remis en place entre mes fesses, je suis habillé. Ma tenue est constituée d’un body string et porte-jarretelles, de bas avec des ballerines et d’une robe de poupée ainsi que d’un nœud dans les cheveux. Toute ma tenue est du même bleu. Ma chérie rit de bon cœur en me voyant ainsi habillé. Elle me dit qu’elle avait préparé cette surprise pour s’amuser mais que le résultat est bien au-delà de ses espérances. Elle ajoute un maquillage de poupée de porcelaine, visage bien blanc et couleurs sur les joues et les yeux.

Mélanie prend alors plusieurs photos de moi dans ma jolie tenue, alors que Cédric et Hugo me disposent de façons différentes sur les ordres de ma chérie.

Une fois les photos faites, ils vont prendre leur petit déjeuner, me laissant seul au salon, confortablement assis sur un fauteuil, avec à la télé un film des ébats de Mélanie, Hugo et Cédric au cours de la nuit passée.

Quand ma chérie me rejoint au salon, je sens le plug logé dans mon cul commencer à vibrer. Je croyais qu’ils m’avaient remis le même que celui de la nuit, mais ce n’est pas le cas. Elle sourit devant mon regard surpris et vient s’asseoir sur mes genoux pour m’embrasser. En se relevant elle me montre la commande du plug et augmente le rythme des vibrations.

  • " Maintenant, me susurre-t-elle, nous allons voir combien de temps monsieur va tenir…"

Disant cela, elle passe le vibreur en mode aléatoire. Les sensations sont terribles et ma queue comprimée dans le body gonfle autant qu’elle peut. Pendant ce temps, ma chérie met de la musique et commence à danser de façon lascive. Sa danse est sensuelle au possible et l’excitation ne fait qu’augmenter quand elle débute un strip-tease de toute beauté. Je ne peux fermer les yeux pour tenter de faire redescendre la pression. Je gémis tant de la tension de ma bite gonflée à bloc, entretenue par le plug vibrant, que du spectacle que m’offre ma douce. Soudain, tout s’arrête, ma chérie a encore ses sous-vêtements et le plug cesse de vibrer. Elle se penche vers moi et après un rapide baiser me dit :

  • " Tut tut tut, pas encore l’heure de l’orgasme, ma jolie poupée."

A ce moment-là entrent Hugo, Cédric et Mélanie. A eux trois, je suis vite débarrassé de la robe de poupée. Mais ils me laissent mes sous-vêtements et mes ballerines. Nouvelle séance de photos dans différentes poses et la matinée se termine. Pendant leur repas de midi, je suis à nouveau installé sur le fauteuil et devant le film de la nuit passée. Ils y ont ajouté des passages du strip-tease de ma belle Sandrine et le tout passe en boucle. Le plug reste immobile dans mon fondement. Heureusement, sinon je n’aurais pas tenu longtemps. J’ai le temps de visionner 2 fois le film presque en entier avant le retour des 4 compères. A l’entrée de ma douce toute souriante dans le salon, les vibrations reprennent dans mon fondement. Elle est toujours vêtue uniquement de ses sous-vêtements. Cédric et Hugo ont remis leur short et leur harnais en cuir sous lesquels se dessinent les bosses de leurs sexes en érection. Mélanie, elle, a revêtu un body blanc avec une croix rouge, des bas blancs, marqués de petites croix rouges et un petit serre-tête avec une croix rouge devant.

Cette dernière en entrant me regarde d’un air gourmand et demande :

  • " Madame, puis-je m’occuper de votre poupée ? Elle m’a l’air de désirer quelque-chose."

Sandrine me regarde, s’installe dans un fauteuil et lui répond :

  • " D’accord, mais sans les mains, uniquement ta bouche."

A quoi Mélanie s’approche en se pourléchant les babines comme un carnivore devant un bon steak bien saignant. Elle s’agenouille entre mes jambes et commence à lécher la bosse que forme mon sexe sous le body. Elle remonte quelques fois le long de ma hampe avant de plonger entre mes cuisses pour tenter d’ouvrir les pressions fermant l’entre-jambe. Les frottements combinés à l’excitation des vibrations du plug, avec lequel joue ma belle, font que je gémis de plus en plus. La fin est proche, je le sens. Un petit cri de joie succède au claquement des pressions entre mes jambes et Mélanie remonte avec le tissu entre les dents, découvrant mon sexe en entier. Elle lâche le tissu et plonge sur mon sexe comme une goulue privée de sa gourmandise depuis des jours. Les vibrations du plug sont à leur maximum et je vois du coin de l’œil ma chérie jouer avec les sexes bandés de Cédric et d’Hugo. Mélanie, experte en pipe, se régale de ma bite en alternant des gorges profondes et des léchouilles.

En quelques minutes, je ne peux me retenir et, poussant un gémissement à fendre l’âme, je me lâche dans la bouche de Mélanie. Sandrine s’approche alors et embrasse Mélanie pour partager ma semence. Les vibrations du plug cessent peu de temps après et je suis emmené par Cédric et Hugo dans la salle de bain pour un nettoyage complet par Mélanie.

Je passe la fin de la journée allongé sur le lit, toujours habillé en bleu et maquillé comme une poupée de porcelaine, avec à nouveau le plug vibrant dans mon cul. Ma chérie joue avec l’intensité des vibrations en me regardant et m’écoutant gémir.

Quand le produit commence à ne plus faire effet, ma chérie s’approche de moi, enlève son string et me demande de la lécher. Ma langue pouvant bouger, je m’exécute avec plaisir. Petit à petit, je sens le reste de mon corps se détendre et les mouvements redeviennent possibles. J’attr a p e le cul de ma chérie et plaque ses lèvres intimes sur ma bouche pour les lui dévorer et boire son jus avec délectation. Je porte ma chérie au sommet du bonheur avant de nous redresser. Je l’embrasse avec passion et lui dit que j’ai faim. Ce qui la fait bien rire. Sans prendre la peine de me changer, je me lève du lit et aide ma chérie à se lever. Elle attr a p e son string et une de mes chemises et enfile le tout. Ensuite, nous nous dirigeons vers la cuisine où nous attendent Mélanie, Cédric et Hugo. Le repas est prêt et nous le mangeons en discutant des dernières 24 heures.

Le soir venu, Mélanie, Cédric et Hugo rentrent chez eux. Quant à Sandrine et moi, nous faisons l’amour avec passion avant de passer une bonne nuit.

Quelques temps plus tard, après avoir trouvé le terrain que nous cherchions et commencé à faire construire les deux maisons, nous décidons de nous marier et fixons une date. Dans quelques semaines, nous pourrons ouvrir officiellement notre maison de poupées.

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